Les belliqueuses
Les belliqueuses
Morgane et Merlin. Obéron et le Baron Rouge. Cervantès et Shakespeare. Des voleurs et des policiers. Des traîtres et des femmes fatales. Des aviateurs et des espionnes. Une belle et dangereuse hypnotiseuse. Une sorte de Miguelito Loveless en armure. Venise. L'Irlande. Stonehenge.
Des légendes officielles plus belles que des vérités.
Les Belliqueuses plutôt que les Celtiques tant le vrai fil rouge de toutes ces histoires semble bien être la guerre. La guerre non pas comme univers amoral et dérégulé mais le conflit comme parenthèse où s'établissent de nouvelles règles et de nouvelles opportunités. De nouvelles transgressions et des sanctions spécifiques. La guerre et plus particulièrement les femmes dans la guerre. Pas la veuve éplorée, non, la guerrière, la femme comme partie prenante du combat et des coups bas.
Les celtiques. Hugo Pratt. Casterman. 1983.
J'e l'ai trouvé dans une caisse de BD qui, de premier abord, ne présageait pas grand-chose de bon. J'ai payé trois euros.